Bonjour a ceux qui passent chez moi
Que la benedition de Dieu,nottre Createur
Entre dans vos coeurs et de vottre Famille.
La Foi aide a sentir une Paix interieur.
Il ne faut pas avoir honte de parlér de Nottre Pére
Antonieta
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Date de création : 13.05.2010
Dernière mise à jour :
12.04.2020
32 articles
QUELQUES PROVERBES et DICTONS
Ce fin de semaine,amusez vous a connaittre ces anciéns proverbes et dictons
DICTONS
Les anciens à travers de courtes phrases (parfois écrites en vers), étaient capables de prévoir le temps, les récoltes, avec une précision déconcertante et ce très longtemps à l'avance.
C'est grâce à de longues et rigoureuses observations que sont nés "les dictons"
Vent du soir ou pluie du matin n'arrêtent pas le pélerin.
Rosée du matin, tout va bien .
Hirondelle volant haut, le temps reste beau.
Chouette chantant le soir,
beau temps et bel espoir.
Quand il fait beau à la Saint-Vincent,
le vigneron est toujours content.
Soleil rouge le matin,
fait trembler le marin.
Coccinelle vole haut, il fera beau.
A Propos du chat:
Si votre chat va toujours chez les voisins
C 'est pour prendre le recul nécessaire et se rendre compte sans doute de ses conditions par rapport aux autres ?
PROVERBES
Avant l'invention de l'imprimerie, le savoir populaire se transmettait par des proverbes, des maximes, des citations.
Avec le temps, la morale devint l'affaire des gens lettrés qui hissèrent les proverbes au rang de véritable littéraire.
Objets d'étude pour certains, de moqueries pour d'autres, les dictons, les proverbes, les sentences et les maximes concernent tout ce qui fait la vie: la nature, le temps, les animaux, les sentiments, les gens...
Ils nous offrent sous des dehors parfois un peu vieillis, une parole stable et enracinée, véritable patrimoine de la langue française.

Tout chien qui aboie ne mord pas.
Mieux vaut être seul que mal accompagné.
Bien mal acquis ne profite jamais.
Les amours commencent par des anneaux.
Et finissent par couteaux.(?)
On ne saurait faire boire l'âne s'il n'a soif.
Chagrin d'autrui ne touche qu'à demi.
Que chacun balaie devant sa porte et les rues seront nettes.
Tout n'est pas or dans ce qui brille
Ce que l'on acquiert méchamment, on le dépense sottement.
Qui veut être aimé, qu'il aime.
Il ne faut pas laisser croître l'herbe sur le chemin de l'amitié.
Si ton ami est borgne,regarde-le de profil.
Pour savoir la moindre chose sur soi-même, il faut tout savoir sur les autres.
Les vieux croient tout.
Les gens d'âge moyen soupçonnent tout.
Les jeunes savent tout.

La beauté et l´elegance du cigne,doux et legér,il se proméne dans les eaus calmes du lac,un vrait simbole de paix...j´ait eut l´ocasion de voir un couple que nagé dans le grand etang a St. Chamas,lors de mes vacances chez ma soeur Lucie.J´ait presentiée sa gentillésse,je lui aporté du pain,et le couple de cigne,venait juste a coté de moi pour prendre la nourriture...

Pour parler de ce magnhifique especimén...Saviez vous que ils sont les seulles a choisir sa companhie pour la vie,et ne se quite plus jamais,ils vivent isolés des autres,et le jour ou un de deux part pour toujours,celui qui réste s´eloignhe tout seulle persone sait ou il se va,mais lá il atend son tour de partir...Etrange et rare fidelité,c´est vraiment l´amour pour la vie!
Sur le Ciél bleu,assise dans son jardin
Rose regarde la derniére léttre,reçu de son fils,
Parti faire la guérre,contre sa volonté
Les nouvélles sont bonnes,dit´il mais Rose
A le coeur serré,une Mére ne se trompe jamais
Son sixiéme sense,celui que toutes les Méres possédent
Lui disait que quélque chose n´allait bién la bas
Allors Nottre Rose,prise d´angoisse,prend le telephone
Et de l´auttre cotté,une voix austére lui demande
Que voulez vous savoir Madame?
Des nouvélles de mon fils general...Claude c´est son non!
Ici on ne connait pas de non,donnez moi son numero...Un numero?
Allors mon fils part faire son devoir,et perd son non?
Il n´est plus q´un numero, bon Dieu! Un numero!
A ce moment lá,Rose se demande a qoi sa serve faire la guérre!
A tuér,avant d´éttre tué,des inocents,d´un coté et de l´auttre
Verser son sang,perdre sa vie,pour defendre qoi?
Les grandes seignheurs du pouvoir du monde,ses interéts?
Et aprés?Qui va nous rendre nos enfants,sains et saufs?
Ho Seignheur,j´avait presque oubliée ma question!
Comment va mon fils mon General?...Un moment de suspense...
Vottre fils Madame,on va le renvoiér chéz vous bientõt...
Il ne será plus le mémme,ses jambes sont amputés,
Une mine,vous comprenez? Élle a explosé a son passage
Ce n´etait pas pour lui,c´etait pour l´ennemi...L´ennemi?
Demande Rose en larmes,et mon fils aussi,il etait un ennemi?
D´un coté et de l´auttre, on a que des pauvres jeunes inocents
Obligés a faire une guérre que ne lui apartiénd pas,
Les interessés dans touttes les guérres,réstent chéz soi
Devant la télé,assis dans son fauteuil,un vérre a la main
Dans cháque goute de ce vin,il a une goute de sang des inocents
Qui laissent sa vie,dans une guérre,que ne méne a rién
Je laisse mon Homage aux vitimes tombés sans mémme savoir pourqoi
Et a Rose et tant d´auttres Roses de ce Monde,je dirait
Protegés vos enfants,ne les (pretés pas)pour faire le jeu de la mort
Aidez les a vivre sa vie dans la paix,que personne ne les oblige
A faire ce que ils ne veulent pas,finit les guérres,sa sufit
Allons vivre dans l´amour et la Paix,pour que les (Roses)
Ne pleurent pas le fruit de ses entrailles,elevés avéc amour
En les voiant partir pour un voyage sans retour
Que mes veux soit exaucés,je defend la Paix,et l´amour
Rose

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.
L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant se tenait la vieille grand-mère.
Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite, ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
Quelle sottise ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
Hans Andersen